Intéressante bien qu’un peu complexe dans sa construction, cette deuxième partie nous emprisonne entre vérité et faux semblant et nous ne sommes pas certain à la fin de savoir dans quelle dimension, réelle ou imaginaire nous nous trouvons.
Et tout ceci, cette complexité, cette incertitude, est gommé par un dessin, très réaliste, à l’aise dans les paysages d’Afghanistan autant que dans la ville de Londres.
Toujours mystérieux et plaisant à lire donc.Ajouter une critique
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