Geis signifie en gaélique malédiction.
Cette malédiction réunit cinquante prétendants à la succession d’une sorcière qui vient de décéder.
Des épreuves successives doivent les départager pour aboutir à un seul élu.
Mais ce que ces personnages aux parcours et aux classes sociales variés ignorent, c’est que dès le début, les règles sont truquées.
Ils ont pénétré en signant un parchemin, dans un jeu cruel dont ils ignorent les conséquences exactes.
Le dessin, aux couleurs un peu passées, oscille entre conte pour enfants et récit fantastique d’horreur ; Lorsque La magie noire répand son souffle, le dessin devient angoissant.
Très imaginatif et non dénué de morale philosophique, ce premier tome a du potentiel.
A suivre donc.
En bref
6
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