La série poursuit son chemin entre réalité économique et historique et histoire romancée.
Les pages de fin remettent le tome dans le contexte historique et permettent d’avoir une vision réaliste de la création des banques en France, Crédits Agricole pour aider les agriculteurs et Banques Populaires pour les artisans.
La vision romancée, elle, montre l’ambition d’un homme prêt à tout sacrifier à sa banque, jusqu’à atteindre le point d’éventuel non-retour, permettant de se reposer les bonnes questions sur ses priorités.
Le dessin est classique, précis dans le trait, sage dans la mise en page, efficace dirais-je pour résumer.
La série a su, au travers de personnages aux caractères très différents, créer un univers familial et sociétal que l’on voit évoluer dans leur époque.
C’est bien vu et se poursuit avec rigueur au fil des tomes.
En bref
6
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