Ce troisième tome explicite ce qui est un thème désormais récurrent de Bec, l’exo-genèse ; La « création » de l’espèce humaine à partir de cellules, ou d’intervention extraterrestres.
La partie supplémentaire est apportée ici par une créature, version finale, point Oméga, de l’évolution de l’espèce humaine, ayant acquis la vie éternelle.
Elle est néanmoins la cible d’une destruction programmée, qui peut détruire la terre, sur laquelle elle a été ramenée.
L’amour, le désir, le désespoir, l’un des trois, ou un mélange, pourrait sauver la terre, en éloignant la cible.
Le dessin est superbe, fascinant à bien des égards.
On s’immerge avec facilité dans cet univers de science-fiction et on se prend à frissonner de crainte pour l’extinction de l’humanité.
Des thèmes déjà vu au scénario mais une découverte au dessin.
En bref
6
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