En bref : émancipation artistique
Un duc ruiné devenu prolétaire, s’initie à l’art moderne et se l’approprie en devenant gardien de musée à Beaubourg me semble-t-il.
Cette thèse déjà originale est le fondement d’une rêverie où quotidien et art se mêlent pour transformer un être bien à l’étroit dans son costume de noble désargenté.
Le musée Beaubourg l’enveloppe jusqu’à ce que la vision se brouille et cesse, le laissant pour ce qu’il a finalement toujours été.
Le dessin est à l’avenant, rêveur et simple, pour transcender plus que pour dépeindre le propos.
Un être particulier, un artiste, côtoie d’autres œuvres pour comprendre, entre deux pas de danse, qu’il est lui-même une œuvre unique, moderne et contemporaine.
En bref
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