La fin de la trilogie est à la hauteur du début. Bien sûr, comme dans toute bonne aventure "vernienne", la plupart des protagonistes vont s'en tirer en vie grâce à l'intervention de leurs amis du Safari Club et à la force physique de l'alpiniste Maraval.
Côté scénario, Christophe Bec a conclu son récit de façon plus classique que pour d'autres séries. Même s'il n'a pas pu s'empêcher de placer un temple mystérieux au fond de l'abime.
Côté graphismes, Dejan Nanadov nous comble avec un temple plus vrai que nature et des paysages volcaniques sublimes comme la double page présentant la nouvelle île.
Comme pour les précédents tomes, la colorisation de Tanja Cinna contribue pour beaucoup à l'atmosphère lourde sous terre ou sur et sous la mer.
Un beau triptyque plutôt classique mais très agréable à lire.
En bref
7
ginevra
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