La collection « Ligne Noire » dont fait partie cette BD est dessinée exclusivement par Philippe Berthet qui illustre différents scénariste de son choix.
Raule, scénariste de Jazz Maynard et Arthus Trivium n’est pas un inconnu, et la rencontre de ces deux auteurs, promettait, sur le papier, d’être belle.
Et elle l’est.
Je suis toujours aussi admiratif de l’extrême efficacité dans la simplicité et le dépouillement du trait de Berthet.
Il va jusqu’au bout de son art en arrivant à mettre juste le nécessaire dans les décors et les personnages pour les rendre crédibles et réalistes, sans surcharge ni superflu.
On est bien, dans les décors, à Barcelone, c’est sûr, dans l’atmosphère et le rendu des ries et des places, mais sans ostentation ni multiplication des détails.
L’histoire quant à elle est noire, complexe, mais bien structurée.
Le duo s’est bien trouvé dans un récit dense et bien tenu.
Un merci spécial : je n’ai pas un nom de famille commun, aussi le voir repris pour un des personnage m’a agréablement surpris.
En bref
8
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