Dans ce conte fantastique, joyeux mélange de chansons grivoises, d’humour potache, de philosophie du lâcher prise ou pas, chaque personnage traverse des épreuves et des tourments dans un jeu de rôle un peu loufoque.
Le dessin lui-même rivalise d’imagination entre l’innocence du héros, sorte de Petit Prince, et les traits cauchemardesques de méchants très méchants.
Ponctué de pauses philosophiques indispensables de servants de dieux aux dogmes improbables, ce joyeux capharnaüm guilleret trace son chemin d’amour au milieu de personnages qui en manquent.
Dans un monde où chacun cherche son chat, la reine son ogre, les femmes leur liberté et leur libre arbitre, et l’humanité une raison d’espérer, loin des fanatiques monothéistes, ce diptyque apporte une douce et salutaire fraicheur.
En bref
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