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Critique de Jackals

par Kohei le lun. 25 mai 1970

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Dès la première image, Jackals nous plonge dans un univers de tuerie sanguinaire, des hommes sur-musclés se livrent à un découpage de corps humain, à l'aide d'armes démentielles, comme l'Alligator de Nichols (le héros), qui porte ce nom à cause du spectacle horrible des cadavres de ses victimes qui semblent avoir été déchiquetées par un alligator. Pour l'instant, pas vraiment de scénario, seulement des gangs s'affrontant par l'intermédiaire des Jackals, "les survivants d'une vie de carnage", mais je pense que Jackals s'avére prometteur et que ce premier volume sert surtout à poser les personnages et le contexte. Coté déssin, ce n'est pas du net, mais plutôt du crayonné, ce qui convient parfaitement au genre boucherie, les personnages sont détaillés et en imposent au premier coup d'oeil, par contre coté décor c'est un peu vide, mais gageons que ça s'améliora au fil des tomes... Manga à suivre...

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