Je ne comprends pas...

par DarkSayuri mar. 2 août 2011 dans Princesse Vampire Miyu

Réponses (3)
  • Bonjour. En fait, d'après mes souvenirs, il y a eu une première éditions qui c'est très vite arrêté. La deuxième édition, elle, comporte l'intégralité de la première saison (6 volumes) et la deuxième saison a été interrompue au bout du deuxième volume. Bonne journée.

  • Bonjour. En fait, d'après mes souvenirs, il y a eu une première éditions qui c'est très vite arrêté. La deuxième édition, elle, comporte l'intégralité de la première saison (6 volumes) et la deuxième saison a été interrompue au bout du deuxième volume. Bonne journée.

  • La première édition française (chez Samouraï Editions), dans le format et avec les couvertures d'origine, compte deux volumes (correspondant aux volumes 2 et 3 de la seconde édition. Oui, c'est un peu compliqué) et a été stoppée car l'éditeur ne possédait pas les droits. La seconde édition (chez Atomic), en format réduit, compte une première série de six volumes regroupant le one shot d'origine (1 vol.) + l'intégralité de la série Shin Vampire Miyu (le combat contre les Shinmas occidentaux. 5 volumes)... puis une deuxième série de deux volumes correspondant à la "nouvelle-nouvelle" série (qui, en fait, fait suite au One Shot et donc, commence au Japon au volume 2... quand je disais qu'il fallait suivre), stoppée nette en pleine publication, et qui compte (si mes souvenirs sont bons) 9 volumes (10 au japon, puisqu'on compte le One Shot). A noter qu'en parallèle, Atomic a aussi publié le premier volume du spin-off "Dahlia the Vampire", et qu'il ambitionnait d'en faire autant avec le spin-off "Vampire Yui". L'arrêt brutal de publication de ces oeuvres est d'autant plus regrettable que, sur le fond comme la forme, celles-ci se démarquent très positivement de la masse de mangas anonyme et stéréotypés qui déferlent dans nos librairies chaque mois (ceci étant, peut-être est-ce là un début d'explication quant au "pourquoi" de cette absence de succès chez nous - ça, et la traduction calamiteuse... mais enfin, il y en a d'autres, encore aujourd'hui). On pourrait presque essayer d'acheter les volumes suivants en anglais, s'ils ne coûtaient pas un bras (hélas). Une fois de plus, c'est tant pis pour nous.

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