Les variations d’Orsay simple
À l’occasion de l’Exposition universelle de 1900, de nouveaux bâtiments furent construits à Paris, qu’ils soient amenés à rester comme la gare d’Orsay, ou à être détruits comme la tour Eiffel. Plus d’un siècle plus tard, on sait ce qu’il est advenu de ces monuments et la gare d’Orsay est devenue l’un des plus beaux musées du monde, accueillant les chefs-d’oeuvre impressionnistes. Il transforme ainsi la gardienne du musée en charmeuse de serpent du douanier Rousseau ! Il suit à la trace le jeune Edgar Degas pour son premier rendez-vous chez Ingres, ou Monet imaginant qu’il va peindre la gare St Lazare. Si Manuele Fior reproduit le plus fidèlement possible les tableaux cités, respectant les styles des artistes, il bouscule les conventions et les époques pour faire revivre toutes ces oeuvres, chefs-d’oeuvre universels ou tableaux méconnus, s’attardant sur des détails pour mieux nous en faire ressortir la beauté ! Un hymne à la beauté et à la création, porté de mains de maitre par l’un des meilleurs dessinateurs de sa génération.
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Critiques
Les variations d’Orsay Staff
6Une balade à l’intérieur du musée d’Orsay, cela ne se refuse pas… surtout quand elle se fait au cœur des œuvres exposées qui racontent la vie de leurs créateurs à travers le rêve ( ?) d’une gardienne absorbée dans le tableau « La charmeuse de serpents » du douanier Rousseau. On découvre des épisodes (inventés ou réels ?) des vies de quelques peintres célèbres : Degas, Ingres, Morisot, Cézanne, Ren...
Les variations d’Orsay Staff
7Nous sommes conviés à une promenade culturelle et historique dans un récit qui entremêle les époques et leur langage dans et autour de l’écrin du Musée d’Orsay, de ce qu’il fut et de ce qu’il est.. L’auteur, qui a écrit directement en français pour la première fois, semble jouer de la langue française avec ironie et joie communicative. Une gardienne devient personnage de tableau, des artistes in...
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