Critique de Yûna de la pension Yuragi #9
par snoopy le mar. 16 juil. 2019 Staff
Rédiger une critiqueUn bon moment de détente.
Malgré les tomes qui défilent, on reste agréablement surpris par le titre de Tadahiro Miura qui continue de nous séduire à travers sa galerie de personnages ultra agréable et drôle ais aussi ses mini intrigues qui prêtent toujours à sourire d’une manière ou d‘une autre et qui ont le mérite de toutes nous raconté quelque chose. Si vous cherchez une série coquine et légère avec un chouette running gag qui fait mouche la grande majorité du temps et une évolution bien présente, tentez l’expérience Yuna de la pension Yuragi. Vous ne serez pas déçu du voyage !
« Fun comme toujours ! »
On débute la lecture en compagnie de Kogarashi qui se retrouve avec une nouvelle collègue sur son lieu de travail, la jolie et pétillante Hyoragi. Un petit passage très rafraîchissant, l’auteur parvient sans mal à tourner à sa sauce ce genre de coup classique qu’on retrouve aussi bien dans les shônen que les shôjo. On découvre les efforts de la jeune femme pour se rapprocher de celui qu’elle aime passionnément, ses petites difficultés pour passer du rêve à la réalité et sa prise de conscience concernant ses actes passés. Adorable !
On enchaîne avec la fameuse journée du white day durant laquelle on verra Kogarashi offrir ses cadeaux en remerciement des chocolats reçu à la Saint-valentin. Un passage fort appréciable à l’image des choco des jeunes filles, on découvre avec plaisir les différentes petites douceurs préparées spécialement pour chacune d’entre elles. Il s’est donné beaucoup de mal pour leur faire plaisir. En plus, l’auteur nous livre ses petits instants à la mode Food Wars. Visuellement, c’est joli et on peut être sûr que ce petit clin d’œil ravira ces messieurs.
On fera ensuite la connaissance d’un tout nouveau personnage, l’auteur s’amuse avec le cliché de la racaille et brode quelques petites histoires simple et drôle autour de la jeune fille avec des thématique telles que la peur du changement, du regard des autres, des difficultés de s’intégrer quand on nous colle une étiquette de Bad Girl. Encore une fois, le rendu est franchement sympa et le petit chapitre où cette dernière essaie de rendre l’appareil à Misaki en allant à la rencontre de ses concurrentes prête à sourire.
A tout ceci s’ajoute des mini intrigues toujours très agréables et avec lesquelles on constate que la recette fonctionne toujours à merveille, l’idée de la métamorphose en culotte fallait oser !
En bref
La série ne s’essouffle pas et on adhère toujours autant aux délires de l’auteur qui sait se renouveler grâce à l’entrée en scène de nombreux nouveaux personnages. Une lecture parfaite pour quiconque désire se vider la tête. Note : 7.5/10
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