Pour qui sonne le glas
Ce tome inaugure un niveau triptyque de cette excellente série uchronique. Le contexte de départ est la demande d’armistice de l’Angleterre, qui, dans cette revisite de la deuxième guerre mondiale, était la seule à encore se battre en Europe et qui semble vaincue. Une conférence de la paix pour définir un nouvel ordre mondial est donc organisée à New-York, réunissant l’Angleterre, l’Allemagne et les USA. Bénéficiant d’appuis d’industriels et de banquiers locaux, les nazis y viennent en terrain conquis.
Pourtant, si l’extermination industrialisée des juifs et des handicapés venaient à être connue, l’opinion pourrait être retournée et l’Amérique entrerait en guerre. Pour cela, il faut que des preuves tangibles. Ce sont ces preuves que l’héroïne, une irlandaise au cœur bien accroché, essaie de réunir ; Difficilement. Car sur le sol américain même, des ennemis intérieurs et extérieurs rodent.
L’histoire démarre fort et vite ; J’apprécie moins le dessin, parfois un peu imprécis sur les personnages.
En bref
Une conférence est organisée à New York sur les termes d’un armistice de l’Angleterre t d’un nouvel ordre mondial nazi en Europe. Seules des preuves de l’extermination programmée des juifs pourrait faire basculer l’Amérique dans la guerre et rétablir l’équilibre. Ce sont ces preuves qu’une jeune irlandaise essaie de rassembler au péril de sa vie.
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