Les pirates attaquent

Ce manga de Holico (au scénario) et Jun Nishikawa (au dessin) est édité par soleil manga.

C’est une sorte d’isekai, même si les participants ne sont pas emmenés dans un autre monde, mêlé à du survival.

En ce qui concerne l’histoire, un bateau pirate apparait dans l’école des protagonistes mais il est invisible pour les adultes et les écrans de téléphone. Seuls les élèves peuvent l’apercevoir.

Le capitaine du bateau, répondant au nom de Gold Rich s’adresse à eux pour leur présenter le principe du dead flag. Une marque s’affiche sur l’avant-bras des élèves et une application a été installée sur leur téléphone pour avoir des données importantes tout au long du jeu.

Ence qui concerne le jeu, il faut respecter 3 règles :

- Règle n°1 : Tous ceux qui me défieront seront exécutés ;

- Règle n°2 : Pour augmenter son rang dans le classement, les actes de piraterie seront récompensés ;

- Règle n°3 : Pour gagner, il faut être dans le top 13 du classement pendant 10 jours.

Une fois les règles énoncées, un écran de mission avec un décompte au niveau du temps restant apparait au-dessus de l’école.

Pour faire court, et sans rentrer dans le détail de la lecture pour ne pas gâcher son plaisir, il faudra pour les élèves découvrir des trésors, éliminer des monstres, piller, détruire, agresser ou exécuter.

A la manière d’un jeu vidéo, les élèves gagnent des points qui sont automatiquement indiqués sur la marque qu’ils ont sur leur avant-bras et connaissent en temps réel l’avancée du classement sur leur téléphone.

Selon le nombre de points atteints, les participants se voient récompensés d’objets pouvant leur être utiles.

On suit, le jeune Tento, qui sera accompagné de ses amis Yuni, Shôta et Kanna. Ils vont devoir faire preuve de discernement pour tenter d’avancer dans ce jeu.

Autant le dire maintenant, ce manga n’est pas à mettre entre toutes les mains. Ames sensibles s’abstenir. Ce seinen est empreint de violence, ce qui semble normal au vu de ce qui attend les élèves. On a droit à des viscères apparentes et à des têtes explosées.

De plus, les auteurs semblent être friands de fortes poitrines et de petites culottes mais cela ne dérange pas trop la lecture. Par contre, il n’y a pas souvent de lien avec l’histoire.