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Critique de Ayakashi Triangle #4

par Kikô2401 le lun. 27 févr. 2023 Staff

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Garaku et la vierge

Kentaro Yabuki, dans ce nouveau tome, se focalise davantage sur le personnage de Garaku, le peintre.

On en apprend davantage sur son histoire et sur son passé. Et notamment sur son lien avec la précédente vierge (avant Suzu). On se rend également compte que c’est un artiste en vogue.

En ce qui concerne les autres personnages, ce tome est plein de quiproquo, que ce soit Matsuri, Suzu, Ninokuru ou même Réo. Chacun pense à un moment que la personne qu’il « aime » est en réalité amoureuse d’une autre.

Suzu est en concurrence avec Réo, elle pense que Matsuri est intéressé par Ninokuru, Matsuri pense que Suzu en pince pour Garaku. L’auteur joue énormément sur cet aspect. En ce qui me concerne, cela commence à devenir un peu lourd.

Kentaro Yabuki abuse, encore et toujours (mais on a bien compris que cela allait être le cas durant toute la série) des angles de vue particulier, de manière à voir les protagonistes dans des positions suggestives, ou même à les mettre dans des situations où on laisse entrevoir des petites culottes ou même les personnages féminins toutes nues.

Les dessins sont toujours au rendez-vous et assez classiques d’un shonen du genre.

Il y a moins de combat que dans le précédent tome. On sent que selon les tomes, l’auteur jongle entre intégrer des combats puissants ou se focaliser sur les relations entre les personnages, mais de manière inégale.

En bref

Ce nouveau tome revient sur l’aspect « eau de rose » des précédents tomes. J’ai pris moins de plaisir à la lecture de celui-ci. On s’attarde trop sur les relations entre les différents personnages et cela commence à faire beaucoup.

6
Positif

les dessins

Negatif

les positions lassives

les relations entre les différents personnages

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