Nana

Je ne résiste pas à faire de mon titre un hommage à mon cher Émile Zola que je vous invite à lire et à (re)découvrir. Ici, Madame Kodama a le même prénom, Nana, et, on note que celle-ci est une collègue de lycée de notre héros. Depuis peu, elle s'est fait enlever par une secte qui en a fait la « princesse » distributeur d'une drogue toute particulière.

Dans ce tome dix-huit, notre Onizuka surpasse tout ce que vous auriez pu imaginer. Il va enfin se passer ce qu'il attend depuis une vingtaine d'années. Le fameux passage au monde adulte ! Par contre, on se dit encore une fois que le traumatisme du viol de la jeune femme auparavant passe vraiment crème. La psychologie n'est vraiment pas le point fort de Tôru Fujisawa, en çà, Oni lui ressemble énormément.

Sinon, on ne résiste pas au fait que les anciens élèves du professeur un peu voyou sur les bords font leur énième grand retour. Toute la petite bande d'anciens voyous aussi. On réunit ici toutes les précédentes œuvres de la série en une fois, et, on ne va pas bouder notre bonheur tant les cases leur font honneur.

Malgré cette bataille, et, ce chapitre digne d'un final, on continue sur quelques boutades bien masculines, puis, un nouveau projet toujours dans l'air du temps émerge. Il s'agira cette fois de l'envers du décor de la célébrité, soit, ceux qui se font du pognon en piégeant les stars.

« Ça, c'était pour t'apprendre à enlever Nana. »