Une distance révolue

Au moment où j'écris ces lignes, la série « quand Takagi me taquine » s'achève au Japon. La série date de 2012, et, elle a réussi à nous accrocher dès le premier tome. L'espièglerie de Takagi y est certainement pour quelque chose. Enfin, c'est surtout Soichiro Yamamoto qui permet de renouveler le genre à chaque tome.

Il est vrai que c'est incroyable, surtout que l'on sait déjà la fin. Dans ce tome, on fait encore référence aux futurs adultes qui s'amusent d'ailleurs avec une anecdote d'autrefois sur leur prénom. Saviez-vous qu'un manga leur était consacré sous cette forme ? Non, il ne vient pas de commencer, puisque l'on en est au dix-huitième tome. Leur fille est mise en valeur dans ces pages. On aura peut-être une parution après la fin de la série ? Tout dépendra de vous, chers lecteurs.

En attendant, on fêtera l'anniversaire de la petite maline. Encore une fois, l'astuce est bien trouvée, et, Nishikata tombera dans le piège. Sinon, on a aussi un essai de nouvelles coiffures. D'ailleurs, les premières pages m'ont surpris, je pensais que c'était déjà fait. Au final, c'est le garçon qui aura le dernier mot cette fois, qu'il profite, ce n'est pas si souvent.

Sinon, il a beau faire son méchant, il prend soin de sa camarade de classe lorsqu'elle tombe malade. Est-elle vraiment fiévreuse ? Ne s'agit-il pas d'un énième plan pour le faire enrager ? Cette lecture vous donnera toutes les réponses.

« Aujourd'hui, je ferais bien un petit détour, moi ! »