Matière à penser
Le premier tome de cette série postapocalyptique nous avait permis de faire connaissance avec Aster et les habitants de Pan, une région autonome de ce monde. A l’issue d’un jeu de balle au prisonnier un peu élaboré, l’arbitrage de la mécanique céleste avait finalement tourné en leur faveur. On retrouve donc ces personnages sur le chemin de retour vers Pan. Au cours de leur périple, ils sont accueillis dans ce qui ressemble à une vieille usine désaffectée, par une communauté, la Source, qui vit retirée du monde extérieur, en totale neutralité vis-à-vis des clans. Pourtant, contre toute attente, une brigade de Fortuna débarque dans ce lieu, à la recherche d’un pirate informatique ayant attaqué leur réseau depuis une machine située là. S’ensuit une course poursuite dans le dédale industriel de couloirs et passerelles métalliques, entre la force brutale de Fortuna, un groupe de pirates associés à Pan et Aster et ses amis.
L’univers graphique est très réussi, dans une mise en page pleine d’énergie communicative. Les couleurs éclatent comme les onomatopées et les dialogues, parfois farfelus, souvent atypiques, embarquent le lecteur dans une science-fiction réjouissante.
Un deuxième tome à cent à l’heure pour une série de science-fiction réjouissante sur le fond et la forme.
En bref
Un deuxième tome à cent à l’heure pour une série de science-fiction réjouissante sur le fond et la forme.
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