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Critique de Machines de guerre #5

par vedge le jeu. 14 mars 2024 Staff

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Colosse aux pieds d’argile

La série « Machines de Guerre » comme son nom l’indique, met en situation des monstres d’acier ayant existés comme idée, prototype ou réalisation. Dans ce tome, les auteurs s’attaquent au plus gros char jamais construit il semble. De son petit nom « la souris », ce char allemand date de 1943. Dans un régime nazi déclinant, l’industrie allemande ne peut produire des machines de guerre en grand nombre. Hitler est consorts font donc le pari de produire peu de machine mais d’une taille exceptionnelle. Ils pensent qu’un seul mais kolossal tank (il en sera seulement produit deux) peut rivaliser avec dix chars de taille normale. Ce que le char gagne en puissance, il le perd bien sûr en agilité et la stratégie de grandeur de s’avère pas payante.

Pour mettre en scène ce monstre, ce « Loup Gris » les auteurs proposent une uchronie, sur le territoire Russe, sur le front de l’Est, où l’Allemagne s’enlise. Une cheffe de tank russe subie l’attaque du super tank allemand qui détruit son équipage. Ressortie vivante de cette attaque par miracle, elle n’aura de cesse de poursuivre ce char maudit pour le détruire.

Le dessin réaliste sert bien le propos de l’ouvrage, plutôt focalisé sur les combats que sur les ressorts individuels.

Ce one-shot met en scène la poursuite acharnée d’une soldate russe pour détruire le plus gros char allemand jamais construit dans une uchronie se situant en 1947 sur le front de l’Est.

En bref

Ce one-shot met en scène la poursuite acharnée d’une soldate russe pour détruire le plus gros char allemand jamais construit dans une uchronie se situant en 1947 sur le front de l’Est.

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