Une maison isolée
Résumé : Etats-Unis, de nos jours.Une famille en quête d'un nouveau départ s'installe dans une ferme proche de la bourgade rurale de Palmyra.Peu à peu, un climat d'angoisse s'installe, la forêt dense avoisinante recélant de bien étranges et inquiétants phénomènes .Retranchée pour lutter contre de monstrueuses menaces, les membres de la famille vont devoir tout tenter pour survivre...
Troisième tome pour cette série crée par Christophe Bec. Cette fois-ci il nous plonge dans une atmosphère oppressante où une famille est en quête d’un nouveau départ. Un départ assez classique pour un récit d’horreur, avec une famille assiégé dans une maison isolée, confrontée à des monstres humanoïdes. On va y découvrir une famille où chaque membre est rempli de traumatismes personnels.
Ces créatures humanoïdes ont l’air d’être là depuis la nuit des temps mais je dois avouer que je n’ai pas vraiment compris leur histoire au travers des deux flash-back qui nous sont proposés. Le fait est établi, il faut à tout prix survivre et quoi de mieux que d’inviter un membre de la famille que l’on ne supporte pas mais qui se régale à défoncer des créatures surnaturelles. L’horreur fonctionne même si il ne renouvelle pas le genre, dû en grande partie au dessin de Kamil Kochanski qui a su retranscrite une belle ambiance nocturne et sinistre. Ses cadrages renforcent l’aspect cinématographique du récit et nous plongent directement dans l’action.
Au final, Palmyra nous offre une expérience immersive aux amateurs de récits d’horreur et de survie. Si il n’apporte aucune nouveauté au genre, on passe tout de même un bon moment. Mais les illustrations soignées et l’ambiance oppressante compensent en partie le manque d’innovation du scénario.
En bref
Palmyra nous offre une expérience immersive aux amateurs de récits d’horreur et de survie. Si il n’apporte aucune nouveauté au genre, on passe tout de même un bon moment. Mais les illustrations soignées et l’ambiance oppressante compensent en partie le manque d’innovation du scénario.
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