Ce avant-dernier volume de Waltz se charge de nous offrir la première partie de la conclusion. Que ce soit le Tic-Tac, le chapelier, le briseur de nuque, la Cigale, Iwanishi ou même la Guêpe, ils sont tous là et nous exécutent une dernière valse meurtrière forte agréable. Ce que je reprochais au tome précédent ? Tout a été corrigé ! Les protagonistes les plus intéressants de cette histoire occupent de nouveau pleinement les devants et nous offrent un bon divertissement. Les raisons derrières toute cette affaire nous sont déjà dévoilées et paraissent au final simplistes mais que voulez-vous, dans cet univers c’est tuer ou être tué il n’y a pas à réfléchir plus loin ! Le nouveau personnage qui fait son apparition pour l’occasion se fond complètement dans le décor et risque d’être le dernier opposant de la Cigale. Pour faire court, il n’y a pas réellement grand-chose à dire ce cinquième volume. Ce dernier se lit très vite et offre un bon moment de détente à coup de trahisons, manipulations et rafales de balles.