Au scénario de ce Credo de l'Assassin : Corbeyran.
Un gage de la faible probabilité d'être déçu.
Et on ne l'est encore une fois pas, dans ce combat à travers les âges que se livrent deux communautés, celle des Templiers et celle des Assassins.
On revit les épisodes anciens autour de Rome et de ses conquêtes en Gaule en l'occurrence dans ce tome 2 par l'intermédiaire d'une machine à remonter les ancêtres, un voyage dans le temps via son arbre généalogique en quelque sorte.
L'éditeur est Ubisoft France, célèbre société qui a lancé le jeu vidéo duquel la série est tirée.
Il est vrai que les roulés boulés et autres virevoltes des Assassins font un peu Matrix revisité, mais globalement le dessin, aussi à l'aise dans le temps présent que dans les diverses périodes et contrées parcourues via l'Animus, est de bonne qualité;
La première et la dernière page de ce tome en sont deux bons exemples dans le traitement de la couleur, la précision des traits et la création des ambiances par le choix approprié des découpages variés.
Bonne série donc qui gagne en épaisseur et en mystère dans ce tome 2.
Le duo Corbeyran / Defali à qui l'on doit déjà quatre séries dont Asphodèle et la Loi des 12 tables fonctionne bien.
En bref
8
Qu'avez-vous pensé de cette critique ? 0 0
Laissez un commentaire
Commentaires (0)