Dès l’abord, la couverture de ce tome 5 est plus en rapport avec cette série de chevalerie et de reconquête d’un trône usurpé que ne l’était celle du tome 4, fleurant trop avec l’ésotérisme et la retape.
Sur celle-ci, on voit un chevalier, servant la veuve et l’orphelin, à la fois Roi potentiel et chevalier errant, sur des tons pastels et montrant en arrière plan des paysages rudes, une couverture plutôt réussie selon moi.
Ce tome voit la première apparition publique de l’héritier des Halsbourg pour sauver sa sœur et les débuts d’explication de noirceur de Shaggan.
C’est une époque qui se termine, un chapitre qui se clôt avec ce cinquième volume, où l’éternel combat entre le bien et le mal voit une première conclusion… non définitive évidemment.
On connaît Swolfs pour l’univers du western avec Durango mais il excelle dans la période moyenâgeuse.
Sa présentation des animaux et des hommes et réellement saisissante et son scénario ne faiblit jamais.
Ajoutez à cela un sens du mouvement et une force évocatrice dans les paysages de montagne et vous comprendrez tout le bien que je pense de cette série et de son auteur. Tes deux dernières phrases ont plus leur place sur la critique série non ?
En bref
7
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