Aria est une jeune fille fougueuse et intrépide à qui il arrive toutes sortes d’aventures, y compris chez elle. Dans ce tome elle a fort à faire avec un avocat psychopathe qui cherche à s’approprier les richesses de sa famille. L’histoire est bien menée, ni trop complexe, ni simpliste, avec un rôle important donné à sa famille qu’elle a retrouvé dans le tome précédent. J’ai parfois un peu de mal avec le traitement des yeux, par trop exorbités dans le dessin, mais le reste se tient pour offrir une histoire tous publics. Le seul bémol à cette classification « tous publics » serait la fin avec l’auto-justice assumée par tous comme allant de soi, qui ne me semble pas un bon exemple pour la jeunesse, quels que soient les faits reprochés à l’avocat récidiviste. Globalement un bon moment de lecture à cette fin près.