Ce tome 5 clos la série initiée par Gilles Chaillet et qu’il a pu mener presque jusqu’à son terme avant sa disparition.
Elle nous raconte la fin de Rome et de sa puissance et la lutte de la religion chrétienne à ses débuts contre le polythéisme.
Le dessin de ce tome 5 est une prolongation de l’univers de Chaillet sans en posséder encore la précision méticuleuse permettant la saisissante plongée dans le contexte historique.
Le récit se clôt dans ce tome sans grandes surprises mais de manière bien construite.
Il eut été dommage de ne pas finaliser cette œuvre de Chaillet, qui permet, d’une manière romancée de partager une partie de l’histoire de Rome et de profiter de l’effort de reconstitution dessinée du contexte historique.
En bref, un tome de clôture dans le respect de l’auteur initial, comme un hommage posthume, qui clôt une série qu’il aurait été dommage de laisser inachevée.
En bref
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