En 2001, l’auteur est invité « à faire une résidence d’artiste à Johannesburg ».
Il a visiblement été touché par l’énergie qui habite tous les quartiers de cette la ville et en a tiré cette fiction.
L’ouvrage nous raconte l’arrivée d’un français qui croit trouver la fortune dans l’imprimerie d’un ami de son père, à Johannesburg.
Il y trouve plus.
Les rencontres, la violence, mais surtout l’énergie qui le pousse à se dépasser, à sortir de lui-même.
Les dessins en noir et blanc vont à l’essentiel des choses et des êtres, sans chichi, mais en retenant l’essentiel ainsi mieux partagé avec le lecteur.
Une histoire simple comme une parenthèse enchantée qui tarde (et tant mieux) à se refermer.
On a envie d’oublier la réalité de l’endroit : violence, pauvreté, sida, pour profiter de ce moment multiculturel hors du temps.
En bref
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