L'album commence avec une introduction de Valérie Mangin qui restitue au livre de Stefan Wul son contexte historique avec la colonisation qui vit ses derniers instants presque partout dans le monde. Les auteurs ont fait le choix de respecter le ton du livre original et annonce un ton radicalement différent dans la suite... Emmanuel Civiello a joué à fond la carte du dépaysement dans cet album pour créer un décor fantastique avec des paysages grandioses et/ou effrayants et des créatures étranges ou étrangement familières bien que transformées (les horbs pourraient être de lointains cousins des makis). Ce premier tome est prometteur et l'avertissement de Valérie Mangin laisse penser que le deuxième sera encore plus flamboyant... Vivement la suite!!