Librement inspiré du personnage de Casque d’Or, ce diptyque nous plonge dans le Paris gouailleur des filles d’amour, des surineurs et autres apaches.
Plein de vie, de sourires, même sur la trame dramatique de l’histoire des amours tragiques d’Amélie, l’histoire est illustrée à la façon impressionniste du déjeuner sur l’herbe, avec précision et sensibilité.
Une pleine page à la façon d’une reproduction d’un journal d’époque rythme les phases du récit.
Un diptyque tout en justesse et en liberté pour peindre avec tendresse le populo parisien de ce début du vingtième siècle.
En bref
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