Ce début de 2e cycle nous apprend les origines de Kergan.
Donner une suite à une série aussi emblématique (même si c’est pour raconter les origines) est toujours un pari osé. Le risque d’affadissement des personnages est toujours présent.
Ici, rien de tel, Swolfs maîtrise parfaitement ses créatures scénaristiquement ou graphiquement.
Comme on pouvait s’y attendre un peu, Kergan était un prédateur avant sa transformation et il le reste après.
Swolfs reste fidèle à ses personnages et à ses dessins. La colorisation de Bérangère Marquebreucq adoucit la noirceur des actes.
Un début de cycle qui annonce de bons albums à venir.
En bref
8
ginevra
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