La colère : les scientifiques militaires de tous bords deviendraient-ils tous fous ? Ils cherchent l’arme bactériologique parfaite : un agent pathogène mortel, facile à se procurer, contagieux, sans antidote… avant que les « autres » ne le fassent. Mais un laboratoire, si secret et si sécurisé soit-il, peut toujours être piraté... surtout par des androïdes ultra-perfectionnés ! Que viennent faire le papa de Timothy, le petit garçon malade, au milieu de tout cela… céder à la colère bien sûr ! Le jour de l’opération de Timothy, la vieille mendiante avait dit à son père : « Il est trop tôt… et ce n’est pas ic Ce n’est pas ça qui est écrit. Au sommet d’un monde… grande lumière puis grande nuit. Mythologie : pour cette suite du tome 6, Alcante évoque le mythe de Pandore à qui les dieux avaient donné une boite en lui ordonnant de ne jamais l’ouvrir. La curiosité fut plus forte que tout. Pandore ouvrit la boite et laissa échapper tous les maux qu’y avaient enfermé les dieux : maladies, désastres, mort,… En refermant la boite, elle y garda l’espérance. Je ne sais plus quel scientifique a dit que toute découverte d’un vaccin fait de l’agent pathogène combattu une arme bactériologique. Les récits les plus fous circulent sur les expérimentations faites sur les animaux (relisez la série Tatanka : http://www.bd-sanctuary.com/bdd/bd/26508-tatanka/ ). Les scandales médicaux font régulièrement les unes des journaux : médicaments mis trop vite sur le marché sans que tous les effets indésirables graves soient connus, batailles entre groupes pharmaceutiques pour être le 1e à déposer un brevet juteux…