Weyland a retrouvé un peu de vigueur (peut-être même un peu trop au vu du nombre de morts !) avec cet album. Par un de ces curieux caprices du destin, Aria va être confondue avec Kartzky, une femme qui a tué son mari à force de se faire battre comme plâtre. Mais, à part peut-être en Arnolite, l’univers d’Aria est dominé par les hommes et une femme n’a que le droit de se taire, surtout si le mari est un haut magistrat !! Aria va donc être emmenée par un groupe de soldats pour être jugée… avant d’être pendue !!
Heureusement pour elle, les abos et les les humelfes vont transmettre la nouvelle de sa capture…
On retrouve ici Aria bien plus combattive que dans d’autres albums et même très brutale. Dans le passé, elle s’attaquait aux chefs corrompus mais ne tuait pas (dans la mesure du possible) ceux qui obéissaient aux ordres. Je suis aussi un peu déçue de la voir fuir plutôt de chercher à faire éclater la vérité… à moins que cela n’arrive dans le prochain tome.
Côté dessins, ils sont toujours aussi fins et les couleurs douces de Nadine Weyland éclairent même les « méchants ».
En bref
6
ginevra
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