Ce tome 3 sonne la fin du triptyque et de la seconde guerre mondiale, non sans lien.
On y découvre le grand œuvre, pourquoi la légende veut que Nicolas Flamel su changer le plomb en or, et que l’amour conduit au courage et à la délation, selon que l’on est élu ou repoussé.
Le dessin, réaliste, dépeint bien la Belgique et l’Europe d cette période, uniformes et véhicule de soldats compris.
Le scénario utilise avec succès les codes des quêtes ésotériques et maçonniques pour revisiter une découverte importante du XXème siècle, qui fait encore hésiter les pays, entre paix par dissuasion, et éradication par destruction massive.
Une façon insolite de présenter cette découverte qui aurait mérité un peu moins de manichéisme dans les dialogues de fin.
En bref
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