La série poursuit ses portraits de fortes femmes durant la commune par celui d’une jeune aristocrate russe idéaliste, venue prêter main forte aux femmes insurgés de Paris.
Un beau récit ou l’idéal de cette rêveuse se frotte au pragmatisme et parfois mène à la lâcheté de ces hommes qui peinent à user des moyens nécessaires à leur ambition.
Le dessin est superbe avec des mises en page saisissantes, particulièrement la bataille des pages 46 et 47.
Un récit haut en couleurs qui dévoile la boucherie inhumaine qui mit fin au soulèvement.
En bref
7
Qu'avez-vous pensé de cette critique ? 0 0
Laissez un commentaire
Commentaires (0)