Le duo d’auteurs fonctionne bien je trouve.
Le scénariste a su placer les deux dernières aventures dans le contexte historique des années 50, avec, dans ce tome 27, la course à l’espace ; En pleine guerre froide c’était l’enjeu de communication et de supériorité supposée, technologique et militaire, entre les USA et l’URSS.
Autre idée, celle de placer ces aventures dans un lieu clos, qui est l’île de Pâques, dans un contexte de cohabitation des autochtones et des colonisateurs, quels qu’ils soient.
Au dessin, le trait de Régric fait merveille, pour prolonger l’univers du maître, Jacques Martin.
Bien fait, rythmé, ce tome est réussi et laisse bien augurer des suites des aventures de Lefranc.
En bref
7
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