Ce qui m’impressionne dans cette série, c’est d’avoir su créer en deux tomes seulement un univers, une société avec ses codes.
Dans le monde qui nous est proposé, on part du bas de l’échelle, des simples humains sans pouvoir particuliers, au service du haut de l’échelle, les super-héros, sensés les protéger et faire de ce monde un paradis idéal ou tout réussit.
Quelques héros qui doutent viennent mettre le chaos dans ce monde bien réglé.
On retrouve Adamov au dessin avec un trait reconnaissable, dans les belles femmes, les êtres hybrides, la construction d’un univers suffisamment décalé pour se sentir ailleurs et en même temps tellement proche qu’il nous met en danger.
En bref
6
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