Kalish n'est pas vraiment heureux d'être coincé dans le futur et de ce qu'il y découvre : sa quasi-déification! En plus, Vidon refuse de donner les coordonnées du Gengis Khan à Théa; donc l'accès à l'université temporelle est impossible. Bajram continue à nous en mettre plein la vue avec des images grandioses. Les visions qu'il donne de diverses civilisations planétaires sont plutôt impressionnantes avec l'omniprésence des triangles. Khalish est toujours aussi brillant et Théa aussi fragile. Cela donne un duo assez détonnant… et étonnant. Vu la conclusion plutôt pessimiste de ce tome 3, vivement le prochain pour découvrir comment les choses vont évoluer.