On avait laissé Alix en Afrique dans le T34, sur les traces d’un ancrage dans le passé d’Héraklion, et le voici sans transition en Gaule puis à Rome.
Comme si deux scénaristes poursuivaient les aventures de notre héros en parallèle, sans concertation.
Une fois le temps d’adaptation passé, on plonge avec délice dans un complot politique très bien mené et plein de péripéties.
Scénaristes et dessinateur ont bien compris l’esprit et la lettre des aventures d’Alix.
Droiture, honnêteté et bravoure en sont les fils conducteurs.
Le dessin est un cran au-dessus de celui du tome 34 et renoue presque avec la précision suisse d’un Chaillet, en y apportant une légère touche plus contemporaine dans le traitement des ambiances et des couleurs.
Monuments et habitant de Rome prennent vie sous nos yeux.
Une très bonne surprise qui redynamise la série, avec, de plus, une possible idylle qui se noue.
En bref
7
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