Petit à petit les protagonistes finissent par comprendre, et nous avec eux, quelques petites choses : même date de naissance, même anagramme de leur nom, même sexe et même orientation sexuelle et surtout, qu’à la fin il n’en restera qu’un.
Le mystère tourne au combat et on passe de la maison hantée à Hunger Games.
Le dessin lui aussi accompagne le changement.
Des couleurs un peu plus franches, une mise en page plus nerveuse, et l’apparition du rouge sang qui rythme le récit.
L’intrigue s’épaissie, plus réelle ne se simplifie, mais garde le lecteur en tension, sans plus de possibilité réelle de se projeter sur une explication possible.
Bien vu et bien réalisé.
En bref
6
Qu'avez-vous pensé de cette critique ? 0 0
Laissez un commentaire
Commentaires (0)