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Critique de Transmetropolitan #4

par Blackiruah le mar. 7 juil. 2015 Staff

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Quatrième et avant-dernier volume de Transmetropolitan et à ma grande surprise, cet album est une vraie pépite. Pourquoi ? Warren Ellis se sert de cette 4ème année pour faire un zoom sur tous les protagonistes (dont La Ville). Pour rappel, Spider-Jerusalem et ses sordides assistantes sont traquées par le Sourire. Mais le journaliste ne se laissera pas marcher sur les pieds. Il utilisera tous les moyens existants pour continuer son travail journalistique pour le meilleur et pour le pire... Cette partie est surement la pierre angulaire de la saga, étant donné que Warren Ellis montre concrètement la force et la faiblesse de son héros. Il le pose comme un maître (certes fou) qui va éveiller la conscience de ses proches et ses lecteurs. D’ailleurs, son opiniâtreté commence à transmettre, à ses 2 assistantes, la fibre journalistique. Par opposition, cet acharnement va coûter cher à Spider mais sa réaction est pour le moins fabuleuse face à de telle conséquence. La révélation, que l’on apprend dans ce volume, va chambouler le statut quo et devrait accélérer les événements. Bien sûr, la Ville n’est pas en reste. Les travers des habitants et du gouvernement traduisent une critique exacerbée de la société actuelle, plus particulièrement sur des sujets économiques et sociaux. Au crayon, Darick Robertson reste au sommet de son art avec des planches sur la lignée des précédentes avec toujours autant de détails et de bonnes idées dans les designs futuristes. Ce 4ème volume de Transmetropolitan est immanquable. L’auteur parvient à nous surprendre, à travers une direction inattendue et marquante. Touchant et irrévérencieux à la fois, c’est sûr, Warren Ellis est un génie. Plus qu’un tome… L’attente va être longue !

En bref

Quatrième et avant-dernier volume de Transmetropolitan et à ma grande surprise, cet album est une vraie pépite. Pourquoi ? Warren Ellis se sert de cette 4ème année pour faire un zoom sur tous les protagonistes (dont La Ville). Pour rappel, Spider-Jerusalem et ses sordides assistantes sont traquées par le Sourire. Mais le journaliste ne se laissera pas marcher sur les pieds. Il utilisera tous les moyens existants pour continuer son travail journalistique pour le meilleur et pour le pire... Cette partie est surement la pierre angulaire de la saga, étant donné que Warren Ellis montre concrètement la force et la faiblesse de son héros. Il le pose comme un maître (certes fou) qui va éveiller la conscience de ses proches et ses lecteurs. D’ailleurs, son opiniâtreté commence à transmettre, à ses 2 assistantes, la fibre journalistique. Par opposition, cet acharnement va coûter cher à Spider mais sa réaction est pour le moins fabuleuse face à de telle conséquence. La révélation, que l’on apprend dans ce volume, va chambouler le statut quo et devrait accélérer les événements. Bien sûr, la Ville n’est pas en reste. Les travers des habitants et du gouvernement traduisent une critique exacerbée de la société actuelle, plus particulièrement sur des sujets économiques et sociaux. Au crayon, Darick Robertson reste au sommet de son art avec des planches sur la lignée des précédentes avec toujours autant de détails et de bonnes idées dans les designs futuristes. Ce 4ème volume de Transmetropolitan est immanquable. L’auteur parvient à nous surprendre, à travers une direction inattendue et marquante. Touchant et irrévérencieux à la fois, c’est sûr, Warren Ellis est un génie. Plus qu’un tome… L’attente va être longue !

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