"L'enfer est pavé de bonnes intentions". Voilà un proverbe qui s'applique bien à l'œuvre de Cristóbal.
Quand il revient dans son île après une carrière à New-York, ce peintre adulé décide de protéger SON île quoi qu'il arrive… quitte à imposer une dictature morale!
Duhamel a beau prévenir en page de garde que l'histoire n'est que très librement inspirée de César Manrique à Lanzarote, il en a quand même gardé des traces. Mais j'espère que le lointain modèle était moins mégalomane que Cristóbal qui s'avère être de plus en plus odieux au fil des pages.
Fins dessins et colorisation soignée, sépia pour l'enquête de l'inspecteur et couleurs pour le passé du peintre, permettent de bien se situer dans la chronologie.
Une réflexion intéressante sur les relations entre l'art et le business…
En bref
7
ginevra
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