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Critique de Defenders #1

par Meudah le mar. 3 avril 2018 Staff

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Ce premier tome intitulé “DEFENDERS” regroupe quatres supers héros désormais célèbres grâce au succès de leur série respective sur Netflix. Luke Cage, alias Power Man et sa femme Jessica Jones. Danny Rand l’héritier du Iron Fist, et enfin l’avocat Matt Murdock, plus connu la nuit sous le nom de Daredevil. Aux manettes de ce livre nous avonsl’inépuisable Brian M. Bendis au scénario, qui signe ici une de ces dernières œuvres pour la maison de idées. En effet, il a rejoint depuis peu la prestigieuse maison DC Comics, ce qui ne peut que ravir tous les amateurs de Comics. Et c’est David Marquez qui l’accompagne au dessin. Ces deux-là se connaissent bien puisqu’ils collaborent ensemble depuis 2013 pour Marvel. Vous les avez surement lu sur CIVIL WAR II, le grand évènement Marvel qui est leur précédente oeuvre. Une fois n’est pas coutume, c’est la télévision qui inspire le papier et non le contraire. Ce comic-book est basé sur la série télévision du même nom diffusée sur Netlix depuis août 2017. Cette équipe de justiciers est nouvelle mais leur nom ne l’est pas. Les “Defenseurs” sont à l’origine une équipe de super-héros créée en 1971 et composée de Hulk, Namor et Docteur Strange. Alors, que nous réserve cette nouvelle composition ? Le topo est simple, Diamondback, un des premiers ennemis de Luke Cage refait surface alors qu’on le croyait mort. Il est bien décidé à reprendre les rennes de la pègre en devenant le nouveau Caïd. Pour y parvenir, il veut inonder les rues de New York avec une nouvelle drogue. Mais ça ne va pas être aussi simple qu’il l'espérait car notre équipe de “Défenseurs” va se mettre sur son chemin. Le vilain n’a pas froid aux yeux et s’attaque à nos quatres supers héros des rues dès les premières pages en envoyant même Jessica Jones au tapis. La vengeance va alors animer les autres membres du groupe. Mais agir sous le coup de la colère n’est jamais très bon... Bendis nous propose une histoire rudement bien scénarisée s’appuyant fortement sur la notoriété de ses protagonistes. La caractérisation de ceux-ci est donc assez simple car ils sont désormais connus de tous. C’est le vilain qui sort du lot dans cette histoire, et on peut même dire que c’est lui qui tient le premier rôle. Diamondback qui surgit de nulle part est intéressant. Misogyne, manipulateur, calculateur mais aussi cultivé, on découvre petit à petit ses intentions, dictées par la vengeance et la cupidité, comme pour la plupart des gens de son espèce. Pour ce qui est du dessin, c’est la grosse claque visuelle. David Marquez et Justin Ponsor aux couleurs font juste un boulot énorme. Le découpage est très cinématographique, on a vraiment l’impression de regarder un épisode série télé et non de lire un comic-book. Les traits sont justes, précis et très détaillés. C’est hyper plaisant à lire et on a qu’une envie, tourner la page suivante pour découvrir de nouvelles planches. On note tout particulièrement la représentation de Diamondback qui évolue au fur et à mesure sans qu’on y prête attention. Il se transforme en monstre peu à peu ce qui appuie vraiment bien sa caractérisation. Et que dire de la colorisation, la palette est hyper large et les tons prédominants de chaque héro sont respectés. Pour moi ça frôle la perfection étant donné que la qualité est constante du début à la fin. En bref, ce premier tome des Defenders est vraiment top. On est en extase devant ses dessins et l’histoire, sans être exceptionnelle, tient vraiment la route. De plus, on a le droit à de nombreux guests que je vous laisse le soin de découvrir. Quand à l’édition 100% de Panini, elle reste fidèle à elle-même. De qualité avec une brève introduction, une présentation des auteurs ainsi que toutes les couvertures en fin d’ouvrage.

En bref

Ce premier tome intitulé “DEFENDERS” regroupe quatres supers héros désormais célèbres grâce au succès de leur série respective sur Netflix. Luke Cage, alias Power Man et sa femme Jessica Jones. Danny Rand l’héritier du Iron Fist, et enfin l’avocat Matt Murdock, plus connu la nuit sous le nom de Daredevil. Aux manettes de ce livre nous avonsl’inépuisable Brian M. Bendis au scénario, qui signe ici une de ces dernières œuvres pour la maison de idées. En effet, il a rejoint depuis peu la prestigieuse maison DC Comics, ce qui ne peut que ravir tous les amateurs de Comics. Et c’est David Marquez qui l’accompagne au dessin. Ces deux-là se connaissent bien puisqu’ils collaborent ensemble depuis 2013 pour Marvel. Vous les avez surement lu sur CIVIL WAR II, le grand évènement Marvel qui est leur précédente oeuvre. Une fois n’est pas coutume, c’est la télévision qui inspire le papier et non le contraire. Ce comic-book est basé sur la série télévision du même nom diffusée sur Netlix depuis août 2017. Cette équipe de justiciers est nouvelle mais leur nom ne l’est pas. Les “Defenseurs” sont à l’origine une équipe de super-héros créée en 1971 et composée de Hulk, Namor et Docteur Strange. Alors, que nous réserve cette nouvelle composition ? Le topo est simple, Diamondback, un des premiers ennemis de Luke Cage refait surface alors qu’on le croyait mort. Il est bien décidé à reprendre les rennes de la pègre en devenant le nouveau Caïd. Pour y parvenir, il veut inonder les rues de New York avec une nouvelle drogue. Mais ça ne va pas être aussi simple qu’il l'espérait car notre équipe de “Défenseurs” va se mettre sur son chemin. Le vilain n’a pas froid aux yeux et s’attaque à nos quatres supers héros des rues dès les premières pages en envoyant même Jessica Jones au tapis. La vengeance va alors animer les autres membres du groupe. Mais agir sous le coup de la colère n’est jamais très bon... Bendis nous propose une histoire rudement bien scénarisée s’appuyant fortement sur la notoriété de ses protagonistes. La caractérisation de ceux-ci est donc assez simple car ils sont désormais connus de tous. C’est le vilain qui sort du lot dans cette histoire, et on peut même dire que c’est lui qui tient le premier rôle. Diamondback qui surgit de nulle part est intéressant. Misogyne, manipulateur, calculateur mais aussi cultivé, on découvre petit à petit ses intentions, dictées par la vengeance et la cupidité, comme pour la plupart des gens de son espèce. Pour ce qui est du dessin, c’est la grosse claque visuelle. David Marquez et Justin Ponsor aux couleurs font juste un boulot énorme. Le découpage est très cinématographique, on a vraiment l’impression de regarder un épisode série télé et non de lire un comic-book. Les traits sont justes, précis et très détaillés. C’est hyper plaisant à lire et on a qu’une envie, tourner la page suivante pour découvrir de nouvelles planches. On note tout particulièrement la représentation de Diamondback qui évolue au fur et à mesure sans qu’on y prête attention. Il se transforme en monstre peu à peu ce qui appuie vraiment bien sa caractérisation. Et que dire de la colorisation, la palette est hyper large et les tons prédominants de chaque héro sont respectés. Pour moi ça frôle la perfection étant donné que la qualité est constante du début à la fin. En bref, ce premier tome des Defenders est vraiment top. On est en extase devant ses dessins et l’histoire, sans être exceptionnelle, tient vraiment la route. De plus, on a le droit à de nombreux guests que je vous laisse le soin de découvrir. Quand à l’édition 100% de Panini, elle reste fidèle à elle-même. De qualité avec une brève introduction, une présentation des auteurs ainsi que toutes les couvertures en fin d’ouvrage.

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