Cette série a comme fil conducteur le récit de 9 crimes autour des 9 arts majeurs par un condamné à mort.
Chaque tome est indépendant mais est aussi une pièce d’un puzzle qui sera pleinement révélé dans le tome 9.
Dans ce tome, que je trouve réussi, on travers le temps et l’espace pour prendre conscience des effets d’un crime causé par l’envie et de frustration sur le destin d’êtres, par essence, eux, bienveillants.
Un père, fier de son fils et désireux pour lui d’un destin proche du pouvoir royal, pense que la musique et le violon peuvent lui ouvrir les portes de la cour de Louis XIV.
La dextérité ne suffisant pas, il accepte que son fils aille chercher le Graal des violons en Italie, un stradivarius.
Durant ce voyage, risqué en ces temps anciens, le fils trouvera l’amour.
L’histoire de cette époque finit mal, mais rebondit sur l’histoire contemporaine, pour trouver, une fois n’est pas coutume, une happy-end.
Le dessin, lisse et sage certes, est très précis et de bonne qualité.
Il dépeint les atmosphères anciennes et contemporaines avec la même justesse de ton.
Un récit passionnel qui défie le temps et l’espace pour le plus grand plaisir du lecteur.
En bref
7
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