Un album consacré au Pingouin avec peu d'apparitions de Batman, voilà qui est surprenant. Mais Oswald Cobbelpot est un honorable citoyen propriétaire d'un club flottant : La Banquise. Ce qui ne l'empêche pas, sous cette couverture, de commanditer quelques vols de bijoux spectaculaires ou des exécutions atroces.
L'univers de Batman avec son côté très sombre a toujours été mon préféré. Cette préférence doit beaucoup aux "méchants" très charismatiques évoluant à Gotham. Le Pingouin en fait partie.
Le traitement graphique dans des teintes perpétuellement crépusculaires convient parfaitement à cet homme de l'ombre. Le scénario revient sur les plaies d'enfance d'Oswald dues au rejet d'une grande partie de son entourage et sur les premières vengeances qu'il a fait subir à celui-ci.
À la fin de cet album, je ne savais plus trop si je devais le plaindre ou le détester… ou les deux.
En bref
7
ginevra
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