C’est un monument d’héroïc-fantasy et de fantastique qu’il nous est donné de lire avec cette BD.
En 96 pages denses, avec de nombreuses fulgurance dessinées, où le cauchemar prend vie sous nos yeux dans des cases au dessin précis à l’extrême, mais vivant, les auteurs basculent le lecteur dans un récit moyenâgeux.
Les héroïnes réelles sont les femmes, libres, chacune avec sa force, de la douceur à la glace ou à la violence pure.
C’est non seulement la beauté, mais aussi la vie éternelle qui fascine tous les acteurs de ce drame, hormis Grenoye. Ce dernier, jeune homme simple et transparent a connu la femme serpent lorsqu’il était jeune et que tout était possible.
Layla me fait penser à son homonyme d’une chanson de Cabrel.
Las, les histoires d’amour et de pouvoir finissent mal en général, et cette BD ne fait pas exception.
Reste un coup de maître pour un coup d’essai, de deux auteurs qui ont bien fait de se rencontrer.
En bref
8
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