Cela fait un moment que Clarke nous a prouvé qu'il est un des grands maîtres actuels du noir et blanc. Ses personnages sont aussi sublimes en noir sur blanc qu'en blanc sur noir.
Il est aussi un digne héritier des meilleurs écrivains de nouvelles courtes à ultra-courtes (comme Fredric Brown, par exemple) et des auteurs de récits ou romans d'angoisse, mâtinés d'une pointe d'absurde (comme Fredric Brown, encore).
Il nous offre dans ces 2 tomes des histoires entre 4 et 16 cases où le détail qui fait tout déraper peut surgir dès la 1e case ou finalement à la dernière!
Si un autre tome doit sortir, je ferai partie des lecteurs… à moins que mon ombre ou mon reflet ne m'en empêchent.
En bref
8
ginevra
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