En chair et en fer simple
Cofondateur de l'Association et auteur de la scène alternative française depuis les années 1990, Killoffer se distingue, comme David B. ou Charles Burns, par la puissance de son noir et blanc.
Se représentant volontiers lui-même comme il le faisait dans les 676 apparitions, l'auteur vaque à ses occupations d'homme contemporain, entre son appartement, les servitudes quotidiennes et un penchant immodéré pour les excès en tous genres. Dans ce monde ultratechnologisé, les robots domestiques semblent la norme, mais quid de l'attachement que peut éprouver l'homme pour ces machines, en regard de leur inévitable obsolescence programmée ?
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Critiques
En chair et en fer Staff
6C'est un étrange futur que nous présente Killofer. Il y partage sa vie avec un robot aux formes humanoïdes dont la tête m'a rappelé mon vieil Imac G3 des années 2000. Il semble que chaque humain doit partager son domicile avec un robot et qu'il faut remplacer celui du "couple" qui meurt le premier.La postface de Dominique Lestel, auteur de l'essai "Machines insurrectionnelles" qui est le livre de...
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