Un nouvel arc tournoi

Résumé des tomes précédents : après une courte escapade brésilienne, Baki est de retour au Japon. Il vient frapper à la résidence de Tokugawa pour lui demander une place dans son arène personnelle, celle-là même qui se trouve sous le Tokyo Dome. Un événement s’annonce grandiose : un tournoi pour la ceinture du plus fort du monde !!

Bon pour tout vous avouer je n’ai pas trop compris cette fameuse escapade brésilienne. En gros il va la bas pour affronter des gars, rapidement il rencontre l’un deux, soit disant le meilleur sauf que lui il est actuellement dans un fauteuil roulant. Et c’est lui qui lui annonce finalement qu’un gros tournoi se préparer au Japon… Retour à la case départ.

A part ce contretemps, ce début d’arc est excellentissime. J’adore les tournois comme ça dans les Shonen en général. 32 combattants ici, 32 représentants de leur propre sport de combat, énormément de style différents, on a droit à du sumo, du catch, du ju-jitsu, etc… on prend un plaisir énorme. Surtout que Keisuke Itagaki nous présente les 32 combattants un à un, on est vraiment dedans, quelle mise en scène.

Baki de son côté a encore grandi, il a maintenant 17ans et toute l’expérience accumulée depuis le début. Il a l’air de s’être bien remis de son affrontement contre Yûjirô et tous les événements autour. Dans son premier combat, il est très serein. Et pour la première fois, une fille l’accompagne. Très vite on fait connaissance de nouveaux personnages, dont un qui risque d’être son concurrent direct. Le fils d’une certain Doppo Orochi. Le combat des fils, je languis tellement.

Dans cette première partie, 4 combats nous sont proposés. J’ai adoré l’histoire et le combat du sumotori. Ça me rappelle ma jeunesse quand je regardais les combats des Yokozuna, les champions suprêmes sur Eurosport.

Au final, avec ce nouvel arc, un nouveau départ à la série Baki the Grappler, et quel départ. Avec la présentations des combattants, le début du tournoi, tout le background des personnages et la présentation du nouveau concurrent, on a de quoi faire. Un plaisir immense.