Ce qui reste

Je vous conseille de faire comme moi, vous prenez le manga et vous le lisez sans en observer la couverture. Par contre, si vraiment vous ne pouvez pas résister, vous pouvez tout à fait lire le résumé en dos de ce tome treize, car, il ne dévoile en rien le déroulement qui s'ensuit.

J'ai été très surpris par ce tome, et, cette chronique ne dévoilera en rien les évènements décrits, ne vous inquiétez pas pour ça, car, je déteste que l'on rompe le charme d'une lecture trépidante.

Ici, nous voyons enfin les conséquences des drames antérieurs. J'ai été très surpris que l'on saute un peu le passage où le petit est logé en maison de correction. Peut-être plus tard ? Cependant, quelques images traînent par-ci, par-là tout de même.

Les relations avec le père n'ont jamais été aussi approfondies. Ses derniers mots relancent tout à fait l'intrigue, malheureusement. La rencontre de fin aussi. Plusieurs pensées nous effleurent alors : est-ce un retour en arrière par manque d'inspiration ? On va nous illustrer un véritable changement dans la psyché de Seiichi ? Est-on condamner à l'avance par les cicatrices de notre enfance ?

« Ne t'inquiète pas Shige, je te rejoins bientôt ! »