Une longue discussion

Le huitième fils nous présente une couverture ignoble. Allez, il faut l'avouer, c'est pas sa meilleure. De plus, le personnage en arrière-plan est plus crispé qu'expressif. Bon, ça arrive, même aux meilleurs. Pourtant, il va falloir vous préparer, c'était véritablement un signe de mauvais augure.

Après une espèce de petit vide-grenier et de cours sur l'économie spécifique à la zone géographique, on a le droit à une longue conversation auprès de Klaus, contrairement à ce que l'on pourrait croire, l'ami de son père n'en est pas vraiment un. Il est loin d'être aveugle du mauvais comportement de ce dernier qui est en train d'entraîner toute la famille Baumeister dans la déchéance.

D'ailleurs, il est temps pour lui d'avancer autrement ses pions. Si on comprend tout de suite où l'on veut en venir, cette partie a été indigeste à mon goût. Le petit cours sur le taux du change, plus ce discours, c'est trop.

De surcroît, ce n'est pas la fameuse bataille tant attendue contre les zombies dans la forêt enchantée qui va rattraper le tout. C'est trop vite expédié, alors que l'on en avait beaucoup parlé auparavant. Il faut dire que j'avais encore la première partie en tête, qui m'a pris toute mon énergie.

« Maintenant que tu le dis, moi non plus... »