Le petit Lord

Romantic Killer est une comédie comme il peut exister aujourd'hui. Il joue avec les codes du genre afin de mieux les détourner. Anzu ne demandait rien à personne, juste manger du chocolat à n'en plus finir tout en jouant à ses jeux vidéo favoris. Il fallait qu'une espèce d'extraterrestre s'en mêle à coup de baguette magique.

Depuis, elle est privée temporairement de sa gourmandise et de ses écrans afin de mieux se tourner vers l'autre, peut-être même, l'amour. Sauf qu'elle, ce n'est pas du tout prévue à son programme. C'est souvent le garçon qui est un véritable otaku dans les mangas, et, on est ravi qu'ici ça soit une lycéenne.

Si le début de ce tome deux surprend moins, on est tout de même ravi de retrouver la bonne humeur si caractéristique de la série. Les personnages sont vraiment caricaturaux, et, c'est évidemment fait exprès afin de nous faire sourire. On a le beau gosse, Kazuki. Lui, il ne joue jamais de son charme et fait même tout pour passer inaperçu, sauf que cela ne marche jamais.

Depuis, Junta, l'ami d'enfance qui connaît par cœur notre anti-héroïne, se fait plus présent. Effectivement, on remarque qu'il n'a jamais existé auparavant. C'est assez drôle en soi. De plus, ce personnage très grand est en fait très timide. Le voir rougir plusieurs fois de manière si surprenante nous charme sans cesse.

« Tu es la seule à me dire que je ne t'intéresse pas ! »